Façade basilique

Histoire de la ville

Quelle est l'histoire de notre belle commune ?

Situation

Sur le plateau, à l’est de Rouen ;
Sur la route Paris-Rouen par Pontoise, à 120 kms de Paris.

Vue d’avion le site présente :

  • un plateau qui est le village à proprement dit et deux pointes s’avançant vers Rouen
    • Sainte Catherine
    • Aigles Thuringe
  • Un bord de Seine : Eauplet

Ancienneté

La découverte, ici et là, d’outils datant du paléolithique et du néolithique, de tessons de poteries gallo-romaines atteste d’une occupation ancienne.
En 2008, des fouilles conduites dans une vaste zone, localisée entre l’ancien et le nouveau relais hertzien, sur la commune du Mesnil-Esnard, ont révélé l’existence d’un habitat gaulois important, accompagné de nécropoles, datant du premier siècle avant Jésus-Christ. Ce village se prolonge très probablement sur Bonsecours, sous les Hauts Près, dans la mesure où le secteur étudié bute contre la route de Darnétal.
Une première mention, de la partie de la commune située sur le plateau – sous le nom de “Blovilla” (Blosseville) – et, pour celle située en bord de Seine – de “Merdepluet” (Eauplet), se rencontre dans une charte, remontant au XIème siècle, de l’abbaye de la Sainte Trinité du Mont de Rouen.
“Blovilla”, c’est le domaine rural (villa) du vent (blo) tandis que Merdepluet est une allusion à un secteur insalubre.

Dénomination

En 1030

Blosville ou Bloville

De 1793 à 1797

Blosseville la Montagne

De 1797 à 1959

Blosseville Bonsecours

Depuis 1959

Bonsecours

(secours étant pris dans le sens d'intervention, d'auxiliaire, les habitants sont Bonauxiliens).

Bonsecours et le christianisme

Le choix même du nom de la commune, en 1959, de préférence à celui plus ancien de Blosseville, est révélateur. Si chacun a comme référence la basilique, un repère visible de fort loin, en revanche beaucoup ignorent à quel point l’histoire de notre commune a été marquée par le sceau du christianisme d’abord, plus particulièrement du catholicisme ensuite. Une abbaye importante, l’abbaye Sainte-Catherine, était implantée sur le site éponyme. Son histoire, et celle des forts qui l’ont enveloppée, est aussi celle de Rouen et, plus généralement, celle de France.

Bonsecours et le jumelage

Les grandes dates :

1979

Constitution officielle de l'Association "Europe Inter Échanges", à l’initiative de Monsieur Fernand Guillet, son premier Président.

1982

Signature de la première charte de jumelage avec le Kreis d’Uelzen en Allemagne.

1984

Signature de la charte avec les villes anglaises de Anstey, Newton, Linford, Thurcaston et Cropston dans le comté de Leicester.

1988

Signature de la charte à Guibaré ( Burkina-Faso ) avec treize villages burkinabè.

2002

Signature de la charte avec les deux villes polonaises de Gostyn et de Lubon.

4 commissions : Allemagne / Angleterre / Guibaré / Pologne

Les jumelages avec les Anglais, les Allemands et les Polonais sont des échanges culturels, le principe constant étant celui de l’hébergement dans des familles d’accueil ce qui favorise naturellement le contact.
Le jumelage-coopération avec Guibaré ( Burkina-Faso ) permet une aide au développement par la réalisation de micro-projets dans divers domaines : économie, santé, scolaire, vie rurale,…

Le logo de la ville

En 1991, un nouveau logo est édité sur concours. Le projet d’Emmanuel Herbay est retenu :
Les lettres BS de couleur bleue évoquent, d’une part, les courbes de la Seine, d’autre part, la côte montant à Bonsecours à partir de la capitale normande.
Elles s’appuient sur un triangle vert suggérant la colline, elle-même surmontée d’un soleil orange, à son lever, à l’Est de l’agglomération rouennaise.